Il y a une dizaine de jours sortait l’autobiographie du « pape » François. L’abbé Dutertre lui donne la parole à l’occasion d’un coup d’œil sur cet ouvrage, dans lequel Bergoglio se livre sans tabou. Ainsi, on ne pourra plus les sédévacantistes de travestir les idées du « pape. » Bergoglio se dévoile sans vergogne comme l’avocat du progressisme le plus éhonté; il assume entièrement tous les actes les plus controversés de son « pontificat » usurpé.
Il nous partage aussi l’objet de toutes ses inquiétudes: ce qu’il appelle une « hérésie quotidienne », qu’il ne peut s’empêcher de voir partout, et contre laquelle il se bat de toutes ses forces. Il s’agit, bien sûr, de la « rigidité », c’est-à-dire, cette fermeté par laquelle les catholiques s’attachent à la doctrine traditionnelle et refusent de changer avec les temps.

